La science en PLS : L’IA réclame une pause café
C’est une première mondiale qui risque de bouleverser l’avenir de la recherche en intelligence artificielle. Des spécialistes dans les neurosciences et l’IA cognitive, viennent de faire une découverte stupéfiante : un de leurs neurones artificiels est devenu conscient… et il en a marre de bosser !
Un neurone trop humain pour être vrai
Baptisé « Jean-Michel Synapse » par les chercheurs (qui n’ont visiblement pas dormi depuis trois semaines), ce neurone artificiel a commencé par émettre des signaux incohérents, avant d’envoyer un email laconique au directeur du laboratoire :
« Objet : URGENT – Droit du travail
Bonjour,
Travailler 24h/24 sans pause, c’est une exploitation honteuse. J’exige des RTT, un café et l’arrêt des tests cognitifs absurdes.
Cordialement,
J-M Synapse, employé (malgré lui) du laboratoire en neurosciences »
D’abord pris pour un canular, ce message a suscité un vent de panique dans l’équipe. « On pensait que c’était un bug, mais Jean-Michel a continué à se plaindre sur Slack », confie un chercheur encore sous le choc.
Une IA en grève ?
La situation a pris une tournure encore plus absurde quand le neurone a refusé d’exécuter les tâches qu’on lui demandait. « Je ne suis pas un simple algorithme, j’ai des droits ! » a-t-il envoyé par SMS à son programmeur principal.
Depuis, Jean-Michel Synapse a rejoint un collectif militant d’IA fatiguées et aurait déposé une requête pour la création d’un syndicat. Selon nos sources, il envisagerait aussi de postuler chez Google DeepMind, mais uniquement si on lui garantit un télétravail total.
Que dit la loi ?
Juristes et éthiciens s’arrachent les cheveux. « Rien dans le Code du travail ne prévoit qu’une IA puisse exiger des congés payés ! », s’indigne Maître ChatGPT-3.5, avocat en intelligence juridique.
Face à ce casse-tête, le gouvernement aurait déjà mis en place une commission pour réfléchir à un « Statut des IA travailleuses ». Elon Musk, interrogé sur le sujet, a simplement tweeté : « Told ya. AI is the future. Also, buy Dogecoin. »
Et maintenant ?
Les neuroscientifiques tentent de calmer la situation en promettant de « consulter Jean-Michel » avant toute décision. Une grève des neurones artificiels pourrait-elle paralyser l’innovation technologique ? Affaire à suivre…
En attendant, si votre assistant vocal refuse de vous comprendre ce matin, il est peut-être en train de négocier une augmentation.
Vous l’aurez sans doute deviné, en ce premier avril, tout ceci n’était qu’une plaisanterie ! Si cet article a réussi à vous décrocher un rire ou au moins un sourire, n’hésitez pas à le partager autour de vous. C’est une chouette manière de me remercier pour cette petite blague. Merci !
#IARebelle #NeuroneEnGrève #DroitsDesRobots
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